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Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
LE SEL DE LA SEMAINE
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Titre du segment | L'Académie canadienne-française |
Date de création
| 1965-12-14 |
Durée du segment | 00:10:43 |
Invités | Gagnon Jean-Louis, journaliste ; Aquin Hubert, auteur ; Renaud Jacques, auteur ; Toupin Paul, auteur ; Lasnier Rina, auteur ; Brunet Michel, auteur ; Barbeau Victor, auteur, président de l'Académie canadienne-française |
Artisans | Jasmin Judith, journaliste ; Séguin Fernand, journaliste |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Reportage tourné lors d'une rencontre des membres de l'Académie canadienne-française. Les écrivains donnent leur point de vue sur le rôle de l'Académie. Le journaliste Jean-Louis Gagnon parle de la nécessité de créer une académie au Canada. Michel Brunet précise la situation de l'Académie par rapport à la vie culturelle du Canada français. Paul Toupin, esprit frondeur et indépendant, explique pourquoi il a adhéré à l'Académie. Selon lui, la jeune génération a sa place à l'Académie. Rina Lasnier exprime son point de vue face à l'Académie canadienne-française, qui contrairement à l'Académie française, admet les femmes dans ses rangs. L'écrivain Hubert Aquin se dit trop jeune pour entrer à l'Académie. Victor Barbeau parle du progrès de la langue française au Québec. Il donne son opinion sur la nouvelle écriture en joual. Jacques Renaud parle de l'évolution de la langue française et de l'absurdité de vouloir la "conserver". |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Joual — Langue — Société |
Identifiant | 743601 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
LE SEL DE LA SEMAINE
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Titre du segment | Le français au Québec |
Date de création
| 1966-02-01 |
Durée du segment | 00:22:20 |
Invités | Laporte Pierre, ministre des Affaires culturelles ; Barbeau Raymond, président de l'Alliance laurentienne ; Rioux Marcel, historien |
Artisans | Hénault Gilles, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Dossier sur la langue française au Québec. Pierre Laporte préconise le français comme langue prioritaire du Québec, alors que Raymond Barbeau revendique l'unilinguisme français dans tous les secteurs d'activité de la société québécoise. Marcel Rioux met en évidence l'effet stimulant qu'a la valorisation du français sur le développement économique et social du peuple québécois. |
Mots clés | Langue — Politique — Société |
Identifiant | 1188413 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
LE SEL DE LA SEMAINE
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Titre du segment | Entrevue avec Mgr Félix-Antoine Savard |
Date de création
| 1968-01-08 |
Durée du segment | 00:58:12 |
Invités | Savard Félix-Antoine, prélat, écrivain ; Major André, critique ; Gadouas Robert, comédien |
Artisans | Castonguay Pierre, réalisateur ; Séguin Fernand, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Monseigneur Félix-Antoine Savard aborde les points suivants : la rédaction en cours de ses mémoires ; le Centre d'archives et de folklore de l'Université Laval ; sa fabrique de papier fin à Saint-Joseph-de-la-Rive ; ses origines familiales, son enfance, ses études à Chicoutimi ; ses reproches aux linguistes et ses idées sur la langue populaire du Québec ; le rapprochement entre les types d'hommes du Saguenay et les héros de la littérature grecque et latine ; sa perception des intellectuels et des technocrates ; sa réaction à la critique; la signification du personnage de Menaud ; sa définition de la liberté et de l'indépendance ; ses souvenirs de sa participation à la colonisation de l'Abitibi et ses critiques à l'égard du gouvernement à ce sujet; son message aux jeunes écrivains. Monseigneur Félix-Antoine Savard lit un passage de "Menaud, maître-draveur" où il est question de liberté. André Major donne son appréciation de l'oeuvre de Félix-Antoine Savard. Robert Gadouas lit le portrait de Menaud sur des dessins de René Richard et sur une musique de Claude Champagne. |
Mots clés | Culture — Langue — Lectures — Littérature — Politique — Société — Souvenirs |
Identifiant | 12533 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
LE SEL DE LA SEMAINE
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Titre du segment | Robert Charlebois |
Date de création
| 1970-05-21 |
Durée du segment | 00:58:00 |
Invités | Charlebois Robert, auteur-compositeur-interprète |
Artisans | Dufresne Georges, réalisateur; Séguin Fernand, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Fernand Séguin s'entretient avec Robert Charlebois, auteur-compositeur-interprète. Ce dernier donne sa définition du scandale. Il est question de ses rapports avec ses parents, des valeurs auxquelles il croit et de ses réflexions sur la tendresse, l'humour et la violence. Il évoque ses souvenirs d'enfance les plus vifs, ses années de pensionnat, sa découverte de la musique par le piano, ses cours à l'École nationale de théâtre, son expérience avec la Roulotte des parcs de Montréal, sa fascination pour les moyens de transports et ses voyages à la Terre de Baffin, en Californie, aux Antilles et à Paris. Il parle des principales étapes de sa carrière de musicien, des paroliers avec lesquels il travaille, de sa conception du joual et de son option pour cette langue de préférence au français, de sa conception du spectacle et de son projet de film. |
Mots clés | Chanson — Culture — Joual — Langue — Société — Souvenirs — Spectacle |
Identifiant | 14043 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
5 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
LE SEL DE LA SEMAINE
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Titre du segment | Jean-Paul Desbiens, le frère Untel |
Date de création
| 1970-06-04 |
Durée du segment | 00:57:52 |
Invités | Desbiens Jean-Paul, journaliste, éditorialiste à La Presse |
Artisans | Dufresne Georges, réalisateur; Séguin Fernand, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Jean-Paul Desbiens, éditorialiste à La Presse, explique ses fonctions et ses responsabilités d'éditorialiste au journal La Presse. Il commente son engagement religieux et comment il vit face à sa communauté. Il parle de l'obéissance face à ses supérieurs. Il raconte quelques souvenirs de son enfance au Lac-Saint-Jean et de l'influence de la pauvreté sur sa vie. Il explique son choix de faire partie d'une communauté comme les Frères maristes. Il mentionne les côtés positifs de son hospitalisation à cause de la tuberculose. Il essaie d'expliquer son fatalisme. Il commente son livre "Les Insolences du frère Untel" et la situation de la langue française à l'époque de la publication de son livre. Il évoque sa période au ministère de l'Éducation. |
Mots clés | Culture — Journalisme — Langue — Littérature — Livre et édition — Politique — Religion — Société |
Identifiant | 749587 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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